Le mardi 17 mai 2022 , le cinéma Saint-Michel de Liffré, vous propose une soirée laotienne. Au programme :
– 20h00 : mini-concert de la chanteuse Kham Kha
– 20h30 : projection du film GOODBYE MISTER WONG, suivi d’un échange en présence du réalisateur Kiyé Simon LUANG
Tarif unique : 3,80 €
A cette occasion, l’association Les enfants du Mékong et son délégué Jean-Jacques FLACH seront également présents pour expliquer leurs actions en Asie du sud-est auprès des enfants défavorisés.
GOODBYE MISTER WONG
Un film de Kiyé Simon Luang
Avec Nini Vilivong, Marc Barbé, Soulasath Saul et Nathalie Richard
Au bord du lac Nam Ngum, au nord du Laos, les destins croisés de France, une jeune femme convoitée par deux hommes venant de deux mondes très différents, et de Hugo un français à la recherche de la femme qui l’a quitté un an plus tôt.
Kiyé Simon LUANG
C’est votre premier long métrage fiction tourné au Laos dans une œuvre liée intimement à l’histoire de votre pays natal. Quel était le projet pour GOODBYE MISTER WONG ?
Je suis arrivé en France en 1976 à l’âge de dix ans. Ce projet reflète mon parcours, celui d’une personne de culture française qui n’a jamais oublié ses racines laotiennes. A l’origine, le scénario était centré sur la relation de France (Nini Vilivong) à Hugo (Marc Barbé), dont le surgissement dans sa famille ravivait le souvenir de son père français. Le sujet s’est déplacé ensuite vers l’influence de la Chine sur le développement actuel du Laos. Goodbye Mister Wong , derrière des apparences de conte de fée, est une fable douce amère.
Kham KHA
C’est entre deux guerres et les bombardements de son pays d’origine que naît Kham Kha à Vientiane au Laos. Elle porte depuis toujours un intérêt à la chanson française ; et c’est avec sa personnalité et ses sensibilités qu’elle a à coeur de mettre en avant ses mots et maux.
Association « Les enfants du Mékong »
Une oeuvre humaine avant d’être humanitaire, Enfants du Mékong est une association qui repose avant tout sur ceux qui s’engagent à ses côtés. Voulue comme un lien d’amitié avec les peuples d’Asie du Sud-Est, l’association n’a cessé d’évoluer depuis 1958 pour s’adapter aux demandes du terrain en restant fidèle à sa vocation première : aimer et secourir les enfants pauvres et souffrants en leur offrant un avenir grâce à l’instruction.